La Gauche Moderne - Newsletter 34 - Février 2012

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Chers amis de La Gauche Moderne,

Notre parti est actuellement l’objet d’une offensive, tant interne que vers les médias, dans la perspective de notre prochain congrès et des élections présidentielles à venir.

Cette démarche, usant de l’entête et du logo de La Gauche Moderne sans mandat ni validation d’aucune de nos instances, vise clairement, sous couvert de liberté de choisir un candidat à l’élection présidentielle, à rompre avec la majorité présidentielle et à rejoindre, de facto, l’opposition et le Parti Socialiste.

C’est pour moi l’occasion de rappeler un certain nombre de choses sur lesquelles j’ai toujours été clair y compris dans mon expression publique :

1. La Gauche Moderne appartient depuis 4 ans ½ (depuis notre lancement en novembre 2007 et notre congrès fondateur de l’année suivante) à la majorité présidentielle, et c’est dans ce cadre que nous avons été présents aux côtés de nos partenaires (ou nos alliés de l’UMP et du Centre) dans toutes les échéances électorales depuis lors (Municipales, Européennes, Régionales et Cantonales).

Aujourd’hui encore l’ARES (Alliance Républicaine Ecologique et Centriste) dans laquelle nous sommes très investis, se réclame comme étant l’autre pilier de la majorité et donc on ne peut plus clairement de la majorité présidentielle, ce qui, au passage, nous différencie de la démarche du Modem de François Bayrou.

2. Depuis, nous avons lors de toutes nos réunions préparatoires à l’échéance présidentielle, et particulièrement depuis le renoncement de Jean-Louis Borloo en octobre dernier, prôné un libre débat au sein de notre parti sur cette question. Il a toujours été reconnu que nous respecterions les choix personnels de chacun pour le premier tour de l’élection présidentielle, pour autant que l’on n’aboutisse pas à l’éclatement de notre formation ou à une rupture avec la majorité dont nous sommes membres. C’est dans cet esprit que nous participons activement aux négociations au sein de l’ARES et avec nos partenaires de la majorité, en vue de soutenir les candidats de La Gauche Moderne pour les prochaines élections législatives.

3. J’ai moi-même pris soin, lorsque je me suis prononcé en faveur de Nicolas Sarkozy dès le 1er tour, de m’exprimer à titre personnel, rappelant que notre congrès en débattrait le moment venu et reconnaissant clairement qu’il y avait en notre sein des opinions différentes.
Je sais que cette prise de position annoncée en interne et expliquée au bureau politique national du 21 décembre dernier a provoqué pour certain d’entre vous de l’incompréhension.

Il ne doit pas y avoir de confusion entre mon choix personnel de soutenir Nicolas Sarkozy au moment où cela a encore un sens (et pas seulement dans les derniers jours de la campagne) et la réflexion de nombre de nos adhérents qui n’ont pas arrêté leur vote. C’est pour cela que je vais créer à l’extérieur de La Gauche Moderne, comme je l’avais annoncé dès le début de ce mois de janvier, un comité national « pour une France moderne et juste autour de Nicolas Sarkozy » auquel se joindront d’ailleurs plusieurs de nos collègues parlementaires et élus ainsi que des amis issus d’autres partis de la majorité (centristes et radicaux notamment).

4. L’erreur de celui qui mène cette offensive et de ceux qui le soutiendraient, n’est pas de prendre une position avant le congrès, n’est pas de faire un choix différent du mien pour l’élection présidentielle, et j’ai eu l’occasion de le lui dire clairement, mais c’est de vouloir nous entraîner dans une division voire une scission qui seraient mortelles pour notre parti.

Je considère « l’autre chemin » qu’il vous propose comme une impasse et même, dans le contexte actuel, un suicide politique pour La Gauche Moderne et c’est pourquoi je ferai mon possible pour couper court à cette dérive.

5. Au vu de la situation, j’ai décidé la réunion de nos instances exécutives et politiques.

Le comité permanent, notre organe exécutif, que j’ai réuni mercredi dernier a décidé à l’unanimité (8 membres présents, 1 excusé et 4 absents non excusés) de prendre des mesures conservatoires pour endiguer les opérations de déstabilisation de notre parti et de convoquer nos instances politiques.
Le  bureau  politique national se tiendra le jeudi 16 février.
Un conseil politique national se tiendra en amont du congrès avec pour objet principal de déterminer les propositions de La Gauche Moderne pour les élections présidentielles.
Enfin, sauf décision contraire du bureau politique national, le congrès national se tiendra  comme prévu le 24 mars prochain. C’est bien à l’occasion de celui-ci que La Gauche Moderne décidera de sa position pour les élections présidentielles.

Je compte beaucoup sur votre soutien dans ce moment crucial pour l’avenir de notre formation politique.

Bien amicalement à tous,



Jean-Marie Bockel
Président de La Gauche Moderne

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La Gauche Moderne - Newsletter 33 - Janvier 2012

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Chers amis,

Nous avons créé La Gauche Moderne en 2007 comme un parti politique de gauche, plus précisément de centre-gauche et d’aspiration sociale libérale dans l’esprit du Club « La Gauche Moderne » que j’avais fondé en 2000 parce que je ne me retrouvais plus dans la manière dont la gauche française traditionnelle avait géré ou proposait de gérer le pays depuis des années.


Ce postulat garde toute son actualité en 2012.

Lorsque, un homme issu de la droite et se présentant comme un véritable modernisateur a été élu à la Présidence de la République et a proposé un programme de réforme dans lequel on pouvait se retrouver assez largement, j’ai accepté l’ouverture politique qu’il me proposait à travers ma présence au gouvernement de la France associée à des forces de droite et du centre-droit.

Ce choix constitutif de La Gauche Moderne comme parti politique ne nous a pas amené à nous renier ;  bien au contraire, nous avons décidé d’être nous-mêmes, de trouver notre place et de faire vivre notre identité propre au sein de la majorité.

Nous avons d’ailleurs participé loyalement à la majorité présidentielle et avons été présents dans l’ensemble des batailles électorales tout en nous engageant activement dans la mise en œuvre d’une politique dont nous avons partagé les succès et les difficultés.

Nous n’avons jamais eu de cesse durant toutes ces années d’organiser également la confrontation d’idées et le débat politique au sein de notre formation.

Aujourd’hui nous pouvons être fiers de notre participation à ce travail de modernisation de notre pays et d’avoir porté l’idéal de la réforme juste qui est au cœur de notre engagement.

Nous avons connu au sein de cet attelage majoritaire des hauts et des bas.

Ainsi, à la fin de 2010, La Gauche Moderne, à travers une lettre ouverte publique a mis en garde ses partenaires de la majorité contre une évolution vers des positions conservatrices de droite traditionnelle dont nous percevions la tentation. Cette période contrastait avec la dynamique que nous avions soutenue avec enthousiasme du discours de Toulon et de l’engagement du Président durant la Présidence française de l’Union européenne au moment de la crise économique et financière en 2008.

Nous ne nous sommes pas retrouvés dans le discours de Grenoble et la mission gouvernementale sur la prévention de la délinquance que j’avais accepté alors avec l’idée de contrebalancer cet épisode controversé n’a pas eu les effets escomptés ;
peu après, mon départ du gouvernement et la fin de l’ouverture ont confirmé ce sentiment de droitisation.

C’est dans ce contexte que nous avons fondé, avec entre autres les Radicaux et Le Nouveau Centre, l’Alliance Républicaine Ecologique et Sociale (ARES) qui se veut le second pilier de la majorité.

L’objectif, autour de la perspective de candidatures de Jean-Louis BORLOO, était de présenter lors de l’élection présidentielle, un dispositif de nature à reprendre le bon cours des réformes pour le pays, y compris par une campagne crédible de 1er tour.

On connait la suite, même si nous continuons à nous impliquer dans l’ARES, dont j’ai été coopté coprésident coordonnateur, avec notamment la perspective des échéances électorales à venir au-delà des Présidentielles.

Dans l’état actuel de la campagne pour les Présidentielles, La Gauche Moderne ne se retrouve pas de manière unanime dans le choix de tel ou tel candidat, je le sais.
Nous avons d’ailleurs eu l’occasion d’en débattre à plusieurs reprises dans nos instances, lors du Bureau politique du 5 octobre, du Conseil politique national du 26 novembre et de notre dernier Bureau national du 21 décembre, dans un climat à la fois franc et fraternel.

Nous sommes convenus que La Gauche Moderne en tant que telle ne prenne pas de position sur l’élection présidentielle avant son congrès qui aura lieu à la fin du mois de mars, ce d’autant plus que d’ici là, nous avons tout à fait la capacité de nous retrouver et d’être plus que jamais force de propositions sur les problèmes de fonds des français, du pays et de l’Europe.

C’est aussi la raison pour laquelle depuis cet automne La Gauche Moderne a laissé à ses adhérents et responsables une certaine liberté d’expression ; ainsi, ceux parmi nous qui ont souhaité participer à la primaire socialiste et notamment à la campagne de Manuel VALLS qui défendait à l’époque des thèses assez proches des nôtres, ont pu le faire sans que cela ne pose problème entre nous. Il en est de même pour ceux qui se sont d’ici là exprimés en faveur de telle ou telle candidature considérant que c’était le meilleur moyen de faire avancer les idées et les solutions qui sont au cœur de notre réflexion.

En ce qui me concerne et après mûre réflexion, j’ai pris la décision, dans la logique de mon choix d’accepter l’ouverture en 2007, de soutenir le Président Nicolas SARKOZY en vue de sa réélection comme Président de la République.

J’ai eu l’occasion de m’en expliquer à plusieurs reprises au sein de La Gauche Moderne et j’ai d’ailleurs levé un coin du voile sur mes intentions à la fin du mois de novembre ce qui, je le sais, a suscité un débat au demeurant constructif au sein de notre parti.

Aujourd’hui, je considère que par-delà nos déceptions, les erreurs ou parfois les dérives que l’on a pu constater, Nicolas SARKOZY est en train de réorienter son engagement politique dans une direction plus conforme à nos attentes et à nos valeurs.

J’estime tout d’abord que l’implication du Président dans la crise économique, financière et sociale que traversent à la fois notre pays, l’Europe et le monde et les perspectives qu’il nous donne pour moderniser la France sans drame, dans ce contexte difficile, sont tout à fait conformes à nos attentes.

Les thématiques qui sont développées actuellement en réponse à cette situation nouvelle et inédite, que ce soit dans le domaine social, fiscal (la TVA sociale) et économique, rejoignent plus que jamais les thèses défendues depuis sa création par La Gauche Moderne.

En face, il faut bien dire que le candidat socialiste, par delà sa victoire aux primaires n’est guère convaincant, pas plus d’ailleurs que ne l’est le programme du candidat du Modem dont les intentions au demeurant restent floues.

Quant à la candidature d’Hervé MORIN, issu lui aussi du rassemblement que constitue l’ARES, et dont j’avais souligné à plusieurs reprises le caractère légitime, on voit bien qu’elle peine à décoller.

C’est la raison pour laquelle, après m’être entretenu avec Nicolas SARKOZY le 3 janvier dernier, j’ai pris la décision de lui apporter mon soutien dès le 1er tour tout en lui précisant que La Gauche Moderne ne s’engagerait pas en tant que formation politique dans l’élection présidentielle avant son congrès du mois de mars.

Je n’ai pas caché lors de cet entretien, les divergences que nous avions pu avoir et dont certaines subsistent encore mais nous avons également évoqué l’importance des points d’accords et des rapprochements qui s’étaient opérés sur le plan de son projet et de sa démarche depuis quelques temps.

Il m’apparait enfin que l’avenir de la France se joue en ce moment-même, semaine après semaine, et que le Président de la République a acquis, de mon point de vue, la stature « du capitaine » expérimenté, compétent et énergique avec de plus une vision d’avenir, à la barre du navire « France » et que cet engagement méritait mon soutien sans attendre.

J’ai également conscience de faire ce choix à un moment difficile pour le Président et pour la majorité et où en tout cas rien n’est joué et c’est pourquoi j’estime que mon soutien prend, dans cette période, toute sa signification. C’est la raison pour laquelle j’ai également proposé au Président, qui l’a accepté, de créer dans les prochains jours avec un certain nombre de nos collègues élus et responsables de La Gauche Moderne qui en seraient d’accord, un « Comité national pour une France moderne autour de Nicolas SARKOZY ». Il nous permettra, avec tous ceux qui voudront bien nous y rejoindre, de créer un effet d’entrainement en direction d’un électorat de centre-gauche, qui ne se considère comme étant ni de droite, ni centriste et qui ne se reconnait plus dans les propositions du candidat socialiste tout en restant réticent à franchir le pas de voter ou de voter à nouveau pour l’actuel Président de la République.

Je tenais comme Président de La Gauche Moderne, à vous faire connaitre ma position avant de la rendre publique. Cette position est certes personnelle mais elle n’est pas neutre, d’autant que dans cette période, la direction de La Gauche Moderne continue de fonctionner en respectant des points de vue de chacun, et j’entends continuer à exercer pleinement, en son sein, ma responsabilité de Président.

Je vous donne rendez-vous à notre prochain congrès et vous prie de croire à mes sentiments très amicaux.


Jean-Marie BOCKEL

 

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La Gauche Moderne - Newsletter 32 - Sept. 2011

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Jean Marie BOCKEL, Jean Louis BORLOO, Hervé MORIN,  La Grande Motte une nouvelle étape dans la construction de l’Alliance Républicaine Ecologiste et Sociale
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L’Alliance a réussi sa rentrée : Avec plus de 2000 participants, l’Université d’été de l’Alliance à La Grande Motte, a été un véritable succès. Non seulement par la présence de nombreux responsables et militants des partis qui composent l’Alliance, mais aussi par la qualité des débats et des échanges qui y ont eu lieu, sous le chapiteau des débats, comme dans les qui avait été choisi.

Contrairement à d'autres Universités   d’été,   ce   n’est   pas  le   bord   de   l’eau,  lesdiscussions particulières et les retrouvailles interpersonnelles, qui auront le plus fait recette pendant les réunions plénières, mais bel et bien les débats sous le grand chapiteau, remarquablement organisés par Jean-Marie Cavada, rassemblant des participants de grande qualité, sur des thèmes de l’heure.

Ce succès, qui montre la réalité en mouvement de l’Alliance, est le prélude à la mise en place prochainement, dans chaque département, d’un comité d’organisation de l’Alliance qui réunira ses responsables départementaux, dans lequel chaque composante apportera sa pierre pour développer une organisation forte sur tout le territoire, prête à affronter les élections décisives qui s’annoncent. La Gauche Moderne ne ménagera pas ses efforts pour y contribuer.

Ce succès de l’Université d’été est aussi une satisfaction pour La Gauche Moderne, puisque la Direction nationale de l’Alliance avait confié à Jean-Marie Bockel la responsabilité politique de l’organisation de ces journées, et que l’organisation opérationnelle avait été confiée au Délégué général de La Gauche Moderne, Christian Debève. L’occasion, pour notre formation de taille modeste, de montrer nos capacités et notre efficacité au service d’un projet politique, que nous présenterons dans les mois qui viennent à tous les Français.

 

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Où va le Parti socialiste ?
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Tout ce qui brille n’est pas or. Les socialistes devraient méditer la maxime. Ce n’est pas en important la méthode américaine des primaires, que l’on résout l’impasse dans laquelle, depuis des années, le Parti socialiste s’est fourvoyé.
La Gauche Moderne est un parti de gauche, et le débat, tel qu’il se déroule à gauche, ne peut pas nous laisser indifférent.
À écouter le premier débat de ces primaires, ce qui apparaît, c’est surtout le vide de la pensée collective de ce parti.
Oui, on y a entendu de bonnes idées, Manuel Vals a même évoqué la TVA sociale, d’autres ont ici et là dit des choses qui ne manquaient pas d’intelligence. Mais à aucun moment on n’a entendu une vision, une perspective pour le pays et pour l’Europe.
On l’avait déjà noté, lors de la crise financière de ces dernières semaines, si on voulait connaître l’avis de l’Opposition, on ne pouvait que constater qu’il y avait autant d’avis que de candidats aux primaires socialistes, avis auxquels il fallait ajouter les points de vue de la gauche plus dure, ou plus extrême.
On le sent bien, à travers la plupart des interventions, la sensation que les anciennes recettes ne seront pas suffisantes pour diriger le pays, est présente chez les intervenants. Mais la peur n’éloigne pas le danger. Et c’est l’attitude traditionnelle qui consiste à promettre, lorsqu’on est loin du pouvoir, et à faire autre chose lorsqu’on arrive aux affaires, qui finit par l’emporter dans la plupart des discours, surtout ceux des « favoris ».
Manuel Vals, bien sur, retient l’attention, dans sa volonté de défendre les idées d’une gauche moderne, mais on sent à quel point il a une difficulté à développer pleinement la cohérence de ses positions, prisonnier du programme adopté par les socialistes.
Les propos de Jean-Michel Baylet aussi attirent la sympathie. On ne peut que partager son souci de réalisme et de pragmatisme, mais il se trouve limité dans sa capacité de convaincre. Non par les textes socialistes auxquels, radical de gauche, il n’a pas souscrit, mais par une réflexion incomplète, qui ne systématise pas sa démarche au point de proposer une démarche cohérente, mais qui lui aurait interdit probablement la porte de ces primaires…
La palette des points de vue proposés est large, de la « démondialisation » d’Arnaud Montebourg à la grande modération de Jean-Michel Baylet. Mais ce n’est pas un kaléidoscope où chacun peut trouver quelque chose qui lui ressemble qu’attendent les Français, c’est une voie une perspective, une volonté. L’époque où le parti socialiste réussissait à travers une stratégie « attrape-tout » est révolue. Les électeurs ont trop été échaudés par la réalité des politiques menées, en regard des promesses faites.
Certes les espoirs soulevés par les débuts du quinquennat de Nicolas Sarkozy, qui ont souvent pu déboucher sur des déceptions, en cette fin de mandat, placent les socialistes en position d’écoute plus favorables de nos concitoyens. On peut douter qu’ils se donnent le moyen de saisir cette opportunité.

 


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Pour cette première université environ 2 000 personnes sur les 2 jours, un vrai succès

> Photos samedi 10 sept.

> Photos dimanche 11 sept.
La Gauche Moderne très présente tout au long des universités d’été
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Christian DEBEVE Délégué Général de La Gauche Moderne désigné par l’Alliance pour piloter l’organisation
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