LEGISLATIVES : Malika Gauthie, suppléante de Jean-Philippe Morel

Publié le 11 Mai 2012

Jean-Philippe Morel, candidat Parti Radical sur la troisième circonscription de Côte-d’Or, a choisi sa suppléante pour les élections législatives de juin prochain. Il s’agit de Malika Gauthie, conseillère municipale de Dijon depuis 2008 et en deuxième position sur la liste menée par François-Xavier Dugourd. Malika Gauthie, « très impliquée dans la vie associative et l’aide aux personnes », estime « avoir une approche des enjeux intergénérationnels et interculturels extrêmement réalistes ».

Malika Gauthie aux côtés de l'ancien ministre Jean-Marie Bockel, et de Jean-Philippe Morel

 

Retrouvez cet article paru le le 10 mai sur le site www.gazetteinfo.fr


Législatives 2012 La Gauche Moderne de Jean-Marie Bockel présente 23 candidats - lalsace.fr

Publié le 11 Mai 2012

La Gauche Moderne, le parti de l'ex-secrétaire d'Etat Jean-Marie Bockel, présentera 23 candidats aux législatives où il entend clairement se situer dans le cadre de la majorité sortante et aux côtés des centristes de l'Alliance républicaine écologiste et sociale (ARES).

Le bureau national de La Gauche Moderne s'est réuni mercredi pour tirer le bilan de la présidentielle et préparer les prochaines législatives.

Dans un communiqué, elle salue l'action «déterminante et courageuse» de Nicolas Sarkozy pendant cinq ans et réaffirme sa solidarité avec la majorité sortante, estimant que le PS était toujours «pris en otage de ses propres contradictions et de ses oppositions d'égos».


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Législatives: La Gauche Moderne de Jean-Marie Bockel présente 23 candidats - AFP

Publié le 11 Mai 2012

PARIS, 11 mai 2012 (AFP)

La Gauche Moderne, le parti de l'ex-secrétaire d'Etat Jean-Marie Bockel, présentera 23 candidats aux législatives où il entend clairement se situer dans le cadre de la majorité sortante et aux côtés des centristes de l'Alliance républicaine écologiste et sociale (ARES).

Le bureau national de la Gauche Moderne s'est réuni mercredi pour tirer le bilan de la présidentielle et préparer les prochaines législatives. Dans un communiqué, elle salue l'action "déterminante et courageuse" de Nicolas Sarkozy pendant cinq ans et réaffirme sa solidarité avec la majorité sortante, estimant que le PS était toujours "pris en otage de ses propres contradictions et de ses oppositions d'égos".

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Législatives : la gauche moderne de Jean-Marie Bockel présentera 23 candidats - lemonde.fr

Publié le 11 Mai 2012

Le parti de l'ex-secrétaire d'Etat Jean-Marie Bockel, présentera 23 candidats aux législatives où il entend clairement se situer dans le cadre de la majorité sortante et aux côtés des centristes de l'Alliance républicaine écologiste et sociale (ARES).

Dans un communiqué, la Gauche moderne salue l'action "déterminante et courageuse" de Nicolas Sarkozy pendant cinq ans et réaffirme sa solidarité avec la majorité sortante, estimant que le PS était toujours "pris en otage de ses propres contradictions et de ses oppositions d'égos". (- avec AFP)

Retrouvez cet article paru le 11 mai 2012 sur le site www.lemonde.fr


Lille : Brigitte Mauroy, la Gauche moderne à l'assaut de la première circonscription

Publié le 11 Mai 2012

1ère CIRCONSCRIPTION DU NORD

On la connaît surtout pour son rôle de conseillère municipale dans l'opposition. Pour porter haut les valeurs de la Gauche moderne, Brigitte Mauroy brigue aujourd'hui un mandatde députée. Elle sera candidate dans la 1re circonscription, entre Bernard Roman (PS) et Hervé-Marie Morelle (UMP).

« Elle a obtenu tous les postes qu'elle souhaitait et je pense qu'elle a la volonté de rester dans le paysage local. » Hervé-Marie Morelle, candidat de l'UMP aux élections législatives dans la première circonscription (*), ne croit pas si bien dire. Lui et Brigitte Mauroy vont même pouvoir tirer la barre côte à côte (ou face à face, c'est selon) pour le premier tour des élections, le 10 juin. Car après le suspense est venue la révélation : la coordinatrice régionale de la Gauche moderne se présente. « La réponse, quand même, c'est clairement oui », pose l'intéressée. Ayant été investie par le Parti radical, le Nouveau Centre et bien sûr la Gauche moderne, elle déposera sa candidature dans le courant de la semaine prochaine.

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Communiqué du Bureau Politique National de La Gauche Moderne - 10 mai 2012

Publié le 11 Mai 2012

La Gauche Moderne a réuni, le mercredi 9 mai 2012, son Bureau national afin de dresser un bilan de l’élection présidentielle et évoquer les prochaines échéances législatives, des 3, 10 et 17 juin prochains.

Respectueuse du choix exprimé par les Français, le 6 mai, faisant de François Hollande le Président de toutes les Françaises et Français pour les cinq prochaines années, La Gauche Moderne a rappelé que les défis considérables nés des soubresauts de la crise qui a secoué le continent européen depuis deux ans avec une gravité inégalée impliquent une République apaisée, comme l’exemplarité de la transition entre Nicolas Sarkozy et François Hollande le confirme.

La Gauche Moderne a tenu à saluer l’action déterminante, courageuse, indispensable pour l’avenir de notre pays que Nicolas Sarkozy a su engager avec passion, détermination et efficacité depuis cinq ans.

Solidaire de son engagement auprès de ce dernier, La Gauche Moderne estime que le constat dressé en 2007 - quant à un parti socialiste pris en otage de ses propres contradictions et de ses oppositions d’égos - demeure hélas inchangé.

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Législatives : depuis dimanche, l'autre campagne s'accélère - La Voix du Nord

Publié le 09 Mai 2012

Lille - Sans suspense dans la 1re : Dans la 1re circonscription, dont une majorité du territoire se trouve à Lille, peu de place au suspense. Même si le candidat PS sortant Bernard Roman assène souvent que « rien n'est jamais acquis », il est difficile de croire qu'il se sente inquiété. Les électeurs de la première ont accordé 62 % de leurs voix à François Hollande et 38 % à Nicolas Sarkozy. Partout, l'avance du candidat socialiste est nette : 58 % à Loos, 57 % à Ronchin, 54,4 % à Faches-Thumesnil, 72 % à Lille-Sud, 77,5 % à Moulins, 57 % dans le Centre, qu'on pourrait penser moins acquis à la gauche. En outre, même si les législatives n'appellent pas toujours les mêmes comportements électoraux que la présidentielle, Bernard Roman jouira en juin d'un vrai capital : sa notoriété et sa présence sur le terrain. En outre, Hervé-Marie Morelle, le candidat investi par l'UMP, voit un nouvel élément, qui pourrait disperser les voix de droite : la candidature probable de Brigitte Mauroy (Gauche moderne). « J'ai bien l'intention d'être au second tour , prévient H.-M. Morelle, en mobilisant ma réserve de voix, en ramenant les électeurs FN vers l'arc républicain. » Depuis dimanche, il se dit « le seul rempart à la gauche sur ce territoire ».

 


Le 6 mai : faire entendre sa voix et faire démentir les pronostics

Publié le 04 Mai 2012

Le 6 mai : faire entendre sa voix et faire démentir les pronostics !

La voie des urnes plutôt que celle des médias ! (atlantico.fr)



Près de 9 millions et demi de Français ont voté, au premier tour, pour Nicolas Sarkozy. Avec 27,18% des suffrages, il est coiffé sur le poteau par François Hollande qui ne le devance que de 1,45% des votants !

Rien n’est donc encore joué, loin de là, contrairement à ce que certains médias et instituts sondages, qui se font volontiers, juges et censeurs, nous avaient pourtant vendus comme inéluctable et incontestable.

La République n’est pas plus « sondagière » qu’elle ne doit être, du reste, communautaire, comme nous y inviterait pourtant les partenaires politiques et électoraux de François Hollande.

La Gauche Moderne qui a décidé, lors de sa Convention nationale du 24 mars dernier, de soutenir Nicolas Sarkozy, voit ainsi son choix légitimé : ce dernier demeure le plus à même de diriger notre pays en cette période de crise, où les vents de la tempête se sont apaisé mais peuvent souffler de nouveau à la première bourrasque de la finance internationale.


Interview Jean-Marie Bockel sur TV5 Monde

Publié le 04 Mai 2012

Jean-Marie Bockel l'invité de TV5MONDE présenté par Patrick SIMONIN le 04/05/12...L'ancien ministre "d'ouverture" n'a pas laché Sarkozy...


Communiqué : Débat François HOLLANDE - Nicolas SARKOZY

Publié le 03 Mai 2012

Communiqué de La Gauche Moderne :

 

Le débat entre François HOLLANDE et Nicolas SARKOZY tant attendu et souvent rude a permis d éclairer les Français sur le choix qu’ils auront à faire ce dimanche 6 mai.
Nous les appelons nombreux à voter.

Le candidat socialiste s’est cantonné à parler uniquement à son camp alors que Nicolas SARKOZY s’est employé à s’adresser à tous les Français.
Sur chaque sujet Nicolas SARKOZY a fait valoir son expérience et démontré sa maîtrise des dossiers.
Il a eu raison en insistant sur la gravité et la prégnance de la crise qui plane encore sur l’avenir des Français. Il a su trouver le ton juste pour rappeler les dures réalités du monde qui nous entoure. François HOLLANDE a esquivé les questions de fond restant dans le registre de l’antisarkosisme répétitif.

Le Président est resté fidèle à son programme alors que François HOLLANDE a une fois de plus modifié ses positions, sur le vote des étrangers non communautaires, sur le nucléaire, sur le calendrier du retrait des troupes françaises en Afghanistan.

Nicolas SARKOZY a confirmé ses objectifs de réduction de la dette et de maîtrise des dépenses publiques. François HOLLANDE prisonnier de ses propositions dépensières n’a pas convaincu de sa capacité à juguler le déficit budgétaire et à remettre la France sur la voie de la croissance.

Dans ces temps difficiles dimanche 6 mai choisissons l’expérience, la détermination et les choix clairs pour la France de Nicolas SARKOZY


Bockel: «Défendre la réforme juste» - L'indépendant Languedoc Roussillon

Publié le 30 Avril 2012

Jean-Marie Bockel, ancien ministre socialiste puis "d'ouverture" sous Fillon bat la campagne sous les couleurs du camp sarkozyste. Il s'arrête quelques instants sur la place d'un centre gauche en France.

Ainsi, il constate : «La partie n'est évidemment pas simple pour Nicolas Sarkozy. Il n'est pas en position de favori.
Mais ceux qui pensaient que ta partie était pliée d'avance doivent nuancer leur jugement. Les Français souhaitaient ce match entre te président et Hollande. Le point d'orgue sera le débat du 2 mai. La chance que Nicolas Sarkozy garde de l'emporter passera par la capacité à rassembler son camp et au-delà, les centristes bien sûr mais aussi tes électeurs du FN et les abstentiannistes qui auraient voté pour lui le 22 avril ou qui l’avaient fait en 2007. C’est un vrai challenge, mais je continue à y croire». Son credo ? Aller de l'avant pour moderniser, «avec Le parcours que vous connaissez»: «J‘ai passé 34 ans au PS et je me suis trouvé dans l'impossibilité de convaincre les lieutenants du parti d'évoluer. En désespoir de cause, mais dans une continuité, j'ai créé la Gauche Moderne».

 

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Sarkozy adopte un discours plus mesuré - Europe1

Publié le 30 Avril 2012

A J-7, Nicolas Sarkozy a amorcé un recentrage de son discours lors de son meeting de Toulouse.

Nicolas Sarkozy a prononcé dimanche à Toulouse une ode aux frontières protectrices de la civilisation et de la société françaises mais amorcé également un recentrage de son discours, à une semaine du second tour de l'élection présidentielle.

Depuis le premier tour, qui a tourné à l'avantage du socialiste François Hollande, le chef de l'Etat s'était lancé dans une chasse effrénée aux voix du Front national, au risque d'effaroucher les électeurs du centre et de la droite modérée. A Toulouse, ville de gauche, dans un hall d'exposition bondé, il a délaissé les improvisations enflammées sur l'immigration, l'insécurité ou l'assistanat, pour revenir à un discours écrit et plus policé, retransmis simultanément dans sept autres meetings, présidés notamment par le Premier ministre François Fillon et le patron de l'UMP, Jean-François Copé.
Des cautions centristes au 1er rang

 

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À Toulouse, Sarkozy exalte la nation et les frontières - La Dépêche

Publié le 30 Avril 2012

Frontières, civilisation, nation : Nicolas Sarkozy s'est adressé hier depuis Toulouse au « peuple de France » - plus de dix mille personnes qui s'étaient rassemblées au Parc des expositions et autant dans les six villes de France où le meeting était retransmis - en droitisant franchement son discours. Pendant une heure, devant son épouse Carla Bruni et un premier rang constitué de ministres, actuels ou anciens, Nathalie Kosciusko-Morizet, Rama Yade, Michèle Alliot-Marie, Claude Allègre ou Jean-Marie Bockel, le président-candidat a opposé aux périls extérieurs qui menaceraient la France les concepts de civilisation, de frontières et d'appartenance à la Nation. « Les pays qui gagnent aujourd'hui sont ceux qui croient en l'esprit national » martèle-t-il devant une salle tricolore en transe, scandant « Nicolas, Nicolas » et « On va gagner ! »

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À Toulouse, Nicolas Sarkozy fait l'éloge des frontières et de la nation

Publié le 30 Avril 2012

Une semaine avant le second tour de la présidentielle, le candidat UMP Nicolas Sarkozy a organisé un grand meeting à Toulouse dimanche où il a prononcé devant des milliers de supporters une ode aux frontières et à la civilisation française.

REUTERS - Nicolas Sarkozy a prononcé dimanche à Toulouse une ode aux frontières protectrices de la civilisation et de la société françaises mais amorcé également un recentrage de son discours, à une semaine du second tour de l’élection présidentielle.
Depuis le premier tour, qui a tourné à l’avantage du socialiste François Hollande, le chef de l’Etat s’était lancé dans une chasse effrénée aux voix du Front national, au risque d’effaroucher les électeurs du centre et de la droite modérée.

A Toulouse, ville de gauche, dans un hall d’exposition bondé, il a délaissé les improvisations enflammées sur l’immigration, l’insécurité ou l’assistanat, pour revenir à un discours écrit et plus policé, retransmis simultanément dans sept autres meetings, présidés notamment par le Premier ministre François Fillon et le patron de l’UMP, Jean-François Copé.

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Sarkozy : ne pas confondre «l'amour de sa patrie avec la haine des autres»

Publié le 30 Avril 2012

A une semaine du second tour, Nicolas Sarkozy a théorisé dimanche à Toulouse son discours controversé sur l'immigration et l'identité nationale en célébrant la Nation et les frontières, tout en prenant soin d'affirmer qu'il ne fallait pas confondre «l'amour de sa patrie avec la haine des autres».

Dans un discours écrit par Henri Guaino, et retransmis au même moment dans plusieurs réunions de l'UMP en France, le président-candidat s'est appliqué pendant une heure à donner de la hauteur à sa stratégie de reconquête des quelque 6,5 millions d'électeurs qui se sont prononcés pour Marine Le Pen le 22 avril en exaltant le «sentiment national» et la «fierté» d'être français

«Je ne veux pas laisser la France se diluer dans la mondialisation, voilà le message central du premier tour», a-t-il résumé devant des milliers de partisans (12.000 selon l'UMP), «l'Europe a trop laissé s'affaiblir la Nation (...) les pays qui gagnent aujourd'hui, c'est les pays qui croient dans l'esprit national».

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Intervention de Jean-Marie Bockel lors du meeting de Nicolas Sarkozy dimanche 29 avril à Toulouse

Publié le 30 Avril 2012

Cliquez pour voir la vidéo du discours

TOULOUSE - Dimanche 29 avril 2012

Intervention de Jean-Marie Bockel


La France,

mes chers Amis,


Elle n'est pas de gauche, la France.

Elle n'est pas de droite, la France.

Elle a des devoirs envers le monde.

Parce que nous sommes la patrie des Droits de l'Homme.


Elle a des devoirs envers l'Europe. Qui fut longtemps un continent de guerres. Qui est devenu, par la volonté des hommes – et des hommes seuls – un continent de paix.

Elle a des devoirs envers elle-même, notre France. Et son premier devoir, c'est de ne jamais renoncer, jamais se trahir, jamais se mentir à elle-même.

Voilà pourquoi, aujourd'hui, je suis devant vous.

 

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Comment Jean-Marie Bockel et Catherine Trautmann jugent la campagne - L'Alsace

Publié le 30 Avril 2012

Jean-Marie Bockel, sénateur, président de la Gauche moderne, et Catherine Trautmann, chef de la délégation socialiste française au Parlement européen, sont engagés, l’un au côté de Nicolas Sarkozy, l’autre de François Hollande. Regards de deux anciens ministres sur la campagne.

Quels en ont été les temps forts de la campagne ?

Jean-Marie Bockel : Elle n’est pas terminée. J’étais vendredi à Dijon et je serai ce dimanche avec le président à Toulouse, puis mardi au Trocadéro. Les temps forts ? Il y a eu mon entrevue, début janvier, avec Nicolas Sarkozy pour lui confirmer mon soutien, quand il était au creux de la vague. Puis des moments intenses et difficiles quand il a fallu mettre la Gauche moderne en ordre de bataille… Un autre temps fort, c’est Villepinte où j’ai pu m’exprimer avec ma sensibilité propre ! Enfin, le soir du premier tour, alors que tout le monde parlait d’une affaire pliée, l’espoir est revenu, même si cela sera difficile…


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AFP - Des ténors centristes appellent à voter Nicolas Sarkozy

Publié le 27 Avril 2012

Vingt-six élus centristes, dont les ministres François Sauvadet et Maurice Leroy ainsi que des dirigeants du Nouveau centre et du Parti radical apportent vendredi leur soutien à Nicolas Sarkozy, jugeant que "la place du centre est (à ses) côtés", dans une tribune publiée sur Lemonde.fr.
Parmi les signataires figurent aussi André Rossinot, président d'honneur du PR, Jean-Marie Bockel et Hervé de Charette, présidents de la Gauche moderne et de la Convention démocrate, une vingtaine de parlementaires dont les députés André Santini (NC), Yves Jégo (PR), Jean-Christophe Lagarde (NC) et le sénateur de Paris, Yves Pozzo di Borgo, qui avait soutenu François Bayrou au premier tour.

 

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Nice Matin - Bockel : « Face au vote FN, la gauche est mal à l'aise »

Publié le 27 Avril 2012

Après trente-quatre ans au PS, Jean-Marie Bockel est devenu l'un des ministres d'ouverture de Sarkozy en 2007. Fondateur de la Gauche Moderne, il soutient le président sortant, sans état d'âme.

Ancien socialiste, comment pouvez-vous soutenir Sarkozy draguant les électeurs du FN ?

Sarkozy aborde franchement les messages de cet électorat. Pour que la France reste un pays d'immigration et d'intégration, certaines règles doivent être respectées. Ça ne me choque pas. Dans le débat actuel, il y a une grande part de diabolisation, comme c'est souvent le cas lorsque la gauche est mal à l'aise sur des sujets tels que celui-là.


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En Alsace, l'adresse de Sarkozy aux centristes (Le Figaro)

Publié le 26 Avril 2012

Mercredi dans le Haut-Rhin, le président-candidat a également adouci son propos à destination des électeurs frontistes.

En vieux routier des campagnes électorales, Nicolas Sarkozy confie souvent qu'il «sent» les salles et les publics. Mercredi dans le Haut-Rhin, terre historiquement démocrate-chrétienne où le Front national s'enracine (Marine Le Pen y a fait 23 % dimanche), il a adouci son propos à destination des électeurs frontistes, qu'il veut reconquérir le 6 mai.

Si le président-candidat a répété ses propositions pour réduire l'immigration, il a fait l'impasse sur l'islam et les dérives communautaires. Il a également évoqué des sujets plus économiques, comme la crise, la dette, la formation professionnelle et l'emploi, sujets passés à la trappe la veille, à Longjumeau. Il a notamment proposé d'organiser un référendum sur la règle d'or dès la fin de l'année si aucun consensus ne se dégageait au Parlement. Un geste à destination notamment de l'électorat centriste de François Bayrou. «Je crois en l'humanisme», a-t-il martelé devant les élus alsaciens, dont Jean-Marie Bockel (La Gauche moderne) ou le président du conseil régional d'Alsace, Philippe Richert, autoproclamé «centriste sans concessions».

 

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Jean-Marie Bockel : La Gauche Moderne à Dreux - L'Echo Républicain

Publié le 24 Avril 2012

Le patron de la Gauche Moderne était à Dreux l'après-midi du 19 avril 2012. A la demande du représentant local du parti, Mourad Souni, Jean-Marie Bockel a fait une escale en centre-ville et à la mairie où il a rencontré Gérard Hamel, député maire UMP. Le leader de la Gauche Moderne en a profité pour confirmer son soutien à Nicolas Sarkozy.

"Je ne suis pas une girouette. Je me suis engagé dès le mois de janvier aux côtés du président de la République et ce n'est pas à trois jours de l'élection que je vais changer d'avis", a-t-il déclaré en faisant clairement allusion aux anciens ministres d'ouverture qui viennent d'annoncer leur ralliement à François Hollande.

 

Retrouvez cet article paru le 19 avril 2012 sur le site www.lechorepublicain.fr


Jean-Marie Bockel : Question directe à la Mutualité

Publié le 23 Avril 2012

Interview de Jean-Marie Bockel : Question directe à la Mutualité


Jean-Marie Bockel reproche de changer de camp à 3 jours du scrutin

Publié le 20 Avril 2012

L’ex-ministre pro-Royal, rallié à Nicolas Sarkozy, Jean-Marie Bockel, était hier soir à L’Aigle (Orne). En visite pour appuyer la candidature aux élections législatives de Véronique Louwagie. Mais aussi, dans le sprint final de la présidentielle, pour dire sa confiance dans le candidat président Nicolas Sarkozy « courageux, expérimenté et crédible ».

Il pointe aussi du doigt les ministres ralliés repartis vers la gauche : « je ne leur reproche pas d’avoir changé de camp. En politique, rien n’est figé. Mais je ne trouve pas très digne cet aller-retour vers la gauche à seulement trois jours du choc électoral » commente le sénateur du Haut-Rhin.

Retrouvez cet article paru le 20 avril 2012 sur le site www.ouest-france.fr


Jeunesse en tête - Fédération des Pyrénée-Atlantiques

Publié le 19 Avril 2012

Urieta, c'est du passé et c’est dépassé. » Christian Debeve, délégué général de la Gauche Moderne, parti de l'alliance de centre droit (Ares qui regroupe également le Parti radical et le Nouveau centre), était samedi à Pau pour présenter la nouvelle direction du parti dans le département après le départ d’Yves Urieta il y a trois semaines.

Il s'agira d'une direction tricéphale et fortement rajeunie, puisque « l'animateur » du parti n'a que 29 ans. Originaire de Gabaston, Aurélien Goyetche était sympathisant de CPNT à 18 ans « pour la défense des Valeurs rurales ».

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Bockel s'engage « à fond derrière Sarkozy » - lefigaro.fr

Publié le 19 Avril 2012

L'ex-ministre critique « les allers-retours » d'Amara et d'Hirsch.

S'il ne devait en rester qu'un seul dans l'écurie de Nicolas Sarkozy, ce serait lui, Jean-Marie Bockel, ministre dans le gouvernement Fabius sous Mitterrand, secrétaire d'État dans l'équipe Fillon sous Sarkozy.

De toutes les personnalités de gauche nommées au gouvernement en 2007 au nom de la sacro-sainte ouverture, il est aujourd'hui celui qui ne fait pas défaut au président sortant. Celui qui, après les quelques mois passés à soutenir l'hypothétique candidature du président du Parti radical Jean-Louis Borloo, se mobilise pour le président sortant, se dit «à fond derrière Sarkozy».

 

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