Publié le 09 Novembre 2012
Séance de questions/réponses avec Hervé Guillou, Cassidian et le sénateur Jean-Marie Bockel lors de la conférence de clôture de la 12ème édition des Assises de la sécurité et des systèmes d'information.
Publié le 09 Novembre 2012
Jean-Marie Bockel invité de l’émission quotidienne « Le débat du jour » en direct sur RFI , présentée par Romain Auzouy, le mercredi 07 novembre de 19h à 19h30. Thème de l’émission "le centre en France".
Publié le 06 Novembre 2012
LECON INAUGURALE DE LA CHAIRE DE CYBER DEFENSE
ET CYBER SECURITE SAINT CYR SOGETI THALES
sous la présidence de M. Jean-Marie BOCKEL
à l'amphithéâtre de Bourcet de l'Ecole Militaire
à Paris, le 13 novembre 2012
Le 13 novembre 2012 de 09H30 à 11H30 à l'Ecole Militaire à Paris se déroulera la leçon inaugurale de la chaire de cyber défense et cyber sécurité Saint-Cyr Sogeti Thales sous la présidence de M. Jean-Marie BOCKEL, Sénateur du Haut-Rhin, Ancien Ministre et en présence de Messieurs Luc-François SALVADOR, PDG du groupe SOGETI et Jean-Michel LAGARDE, Président de Thales Communications & Security et Thales Services et du général Antoine WINDECK, commandant les écoles de Saint-Cyr Coëtquidan.
La leçon inaugurale sera prononcée par monsieur Daniel VENTRE, ingénieur au centre national de recherche scientifique (CNRS) et titulaire de la chaire. Elle sera précédée par une allocution de monsieur Jean-Marie BOCKEL et par la présentation du programme scientifique de la chaire.
Le programme de la matinée sera le suivant :
- 9h30 - 9h45 : accueil à l'amphithéâtre de Bourcet ;
- 9h45 - 10h15 : présentation de la chaire par monsieur Daniel VENTRE;
- 10h15 - 10h30 : intervention de monsieur Jean-Marie BOCKEL ;
- 10H30 - 11h30 : leçon inaugurale par monsieur Daniel VENTRE ;
- 11H30 - 12h00 : questions réponses.
Les journalistes souhaitant plus d'informations sur cette activité peuvent contacter la direction de la communication des écoles de Saint-Cyr Coëtquidan à l'adresse suivante : stephane.simon@st-cyr.terre-net.defense.gouv.fr
Contact presse : Commandant Stéphane SIMON
( 02 97 70 720 13 - 06 76 72 34 80 )
Publié le 30 Octobre 2012
Le sénateur Jean-Marie Bockel ne veut pas croire qu’il existe un lien entre les hésitations de ZTE et sa préconisation d’interdire les routeurs chinois.
Jean-Marie Bockel, secrétaire d'Etat à la Défense puis aux Affaires étrangères durant le quinquennat de Nicolas Sarkozy, a présenté un rapport d'information parlementaire sur la cyberdéfense, en juillet dernier, en tant que sénateur du Haut-Rhin. Il y préconise l'interdiction sur le territoire européen des routeurs d'origine chinoise du type de ceux qui doivent être installés sur le site de ZTE, actuellement en construction sur la Technopole du Futuroscope. Alors que le géant chinois de la téléphonie envisage de renoncer à son investissement dans la Vienne (lire nos éditions des 27 et 29 octobre), l'auteur du rapport explique sa position.
La lutte contre le cyber espionnage aura-t-elle raison du projet de ZTE à Poitiers accompagné par Jean-Pierre Raffarin ?
Je connais bien le sénateur Raffarin ; je l'ai croisé la semaine dernière et il ne m'a rien dit. Raffarin, s'il a un problème, il sait où me trouver et il n'hésite pas à m'appeler. On a de très bonnes relations. Jusqu'à plus ample informé, je ne pense pas qu'il y ait un lien entre les hésitations du groupe ZTE et les préconisations de mon rapport. J'en serais très surpris.
Publié le 28 Octobre 2012
Question d’actualité au Gouvernement de Jean-Marie Bockel, sénateur du Haut-Rhin : « Il est urgent de faire de la cyberdéfense une véritable priorité nationale »
Jean-Marie Bockel, sénateur du Haut-Rhin, ancien ministre, a interpellé ce jour lors des questions d’actualité au Sénat le Premier Ministre au sujet de la protection des systèmes informatiques français : « Face à la menace réelle et croissante qui pèse sur nos entreprises et nos institutions, quelles sont les mesures concrètes que compte prendre le Gouvernement pour renforcer notre dispositif de cyberdéfense, notamment dans le contexte de l’élaboration du nouveau Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale ?
La France est-elle assez protégée ? Jean-Marie Bockel s’interroge : « Malgré la création en 2009 de l’Agence nationale de la sécurité des systèmes d’information, notre dispositif de cyberdéfense souffre encore de nombreuses lacunes. » Avec 280 personnes et un budget de 75 millions d’euros, les effectifs et les moyens de l’ANSSI restent inférieurs de moitié à ceux dont disposent la Grande-Bretagne et l’Allemagne.
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Publié le 25 Octobre 2012
VIDEO |
Mise en œuvre des conclusions du rapport d'information de M. Jean-Marie Bockel sur la cyberdéfense
14 ème législature publiée dans le JO Sénat du 18/10/2012 LIRE LA SUITE
Publié le 25 Octobre 2012
Interview de Jean-Marie Bockel sur la cyberdéfense (Le Cercle Les Echos)
Le rapport sur la cyberdéfense du sénateur du Haut-Rhin fait beaucoup parler de lui et à juste titre car il analyse bien le sujet, pose les bonnes questions et donne des pistes de riposte: Jean-Marie Bockel en profite pour poser une question à ce sujet au Sénat aujourd'hui jeudi 25 octobre 2012.
Je l'ai interviewé dans son bureau à Paris: marqué par les cyber-attaques qui ont paralysé l'Estonie quand il était secrétaire d'Etat à la Défense, il est entré dans le sujet par la grande porte et décrit le cybermonde tel qu'il est aujourd'hui. Des Etats, des services secrets espionnent et piratent partout dans le monde avec les nouveaux outils de la technologie. Le sénateur conseille aux entreprises de déclarer les attaques dont elles sont victimes et de renforcer les ressources de l'ANSSI (Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information) et la coopération internationale.
> Par Luc Fayard - Retrouvez cet article paru le 25 octobre 2012 sur le site lecercle.lesechos.fr
Publié le 22 Octobre 2012
Le sénateur Jean-Marie Bockel s'est exprimé au P'tites Riams à Paris le jeudi 18 octobre 2012. Il y a plaidé pour un renforcement de la politique de cybersécurité.
« L'ANSSI [Agence Nationale pour la Sécurité des Systèmes d'Information] est insuffisante tant en termes de moyens que de prérogatives » a plaidé le sénateur Jean-Marie Bockel lors des Petites Rencontres de l'Identité, de l'Audit et du Management de la Sécurité (P'tites RIAMS), le jeudi 18 octobre 2012 à L'Elysées Biarritz, Paris. Organisées par le cabinet Atheos et animées par Nicolas Arpagian, rédacteur en chef du magazine Prospective Stratégique, ces rencontres ont été l'occasion d'une longue intervention de l'auteur du rapport parlementaire sur la cybersécurité sous forme d'un dialogue avec les RSSI et consultants présents dans la salle.
Publié le 16 Octobre 2012
Européens et Américains sont d'accord : les équipements chinois sont materia non grata, en particulier les routeurs - pièces clefs pour le fonctionnement des réseaux. Plongée dans les méandres des Internets pour comprendre l'importance de ces équipements.
Les États occidentaux s’agacent de l’emploi de technologies chinoises aux coeurs des réseaux. La France a ouvert le bal en juillet dernier. Le sénateur Jean-Marie Bockel y consacre une partie de son rapport sur la cyberdéfense.
Recommandation n°44, interdire sur le territoire nationale et européen le déploiement et l’utilisation de “routeurs” ou d’équipements de cœur de réseaux qui présentent un risque pour la sécurité nationale, en particulier les “routeurs” ou d’autres équipements informatiques d’origine chinoise.
Le discours est clair. Il lui a été soufflé Outre-Rhin par le ministère de l’intérieur allemand et le BSI, l’équivalent de l’ANSSI française (chargée de la cybersécurité et de la cyberdéfense). Deux constructeurs sont visés : Huawei et ZTE.
Publié le 16 Octobre 2012
« Le président de la République a fait le bon choix de se rendre en RDC. C'est le pays francophone le plus important au monde devant la France, c'est la complexité de la réalité africaine, lui tourner le dos aurait été un mauvais début. Le fait qu'il y ait des difficultés, des problèmes, des aspects critiquables dans la politique de ce pays comme dans d'autres ne veut pas dire qu'on ne doit pas avoir une présence de la Francophonie ».
Le discours de Dakar au Sénégal de François Hollande ce vendredi 12 octobre et le XIVe sommet de la Francophonie qui va se tenir à Kinshasa en République démocratique du Congo du 12 au 14 octobre, constituent les faits marquants de l'actualité française et africaine. En prélude à ces deux événements, Frédéric Rivière reçoit Jean-Marie Bockel, ancien secrétaire d’Etat chargé de la Coopération et de la Francophonie en duplex de Mulhouse.
Ecouter l'interview diffusée sur RFi
Retrouvez cet article paru le 12 octobre 2012 sur le site www.rfi.fr
Chargé de la Coopération sous Sarkozy, Jean-Marie Bockel avait été éjecté de son fauteuil au bout d’un an pour avoir critiqué les dérives de la Françafrique.
A Kinshasa, François Hollande va rencontrer nombre d’autocrates. La Françafrique est toujours vivace?
JEAN-MARIE BOCKEL. Bien sûr que la vie continue! Tourner le dos à la Françafrique ne signifie pas se fâcher avec les amis traditionnels de la France, qui dirigent des pays où nous avons des intérêts.
Mais, en 2007, Rama Yade, secrétaire d’Etat aux Droits de l’homme, avait refusé de rencontrer Sassou Nguesso…
Rama Yade c’est Rama Yade et moi c’est moi! Moi, j’ai été viré du gouvernement pour m’être élevé contre la Françafrique, je sais de quoi je parle. Mais je ne considère pas pour autant qu’on doive faire une diplomatie du coup de gueule.
Retrouvez cet article paru le 12.10.2012 sur le site leparisien.fr
Publié le 16 Octobre 2012
Après les Etats-Unis, l’Australie, et la France – avec le rapport du sénateur Jean-Marie Bockel -, c’est au tour du Canada et du Royaume-Uni de s’interroger sur l’utilisation des routeurs de Huawei.
Le président de la commission Renseignement & Sécurité du parlement britannique, Sir Malcolm Rifkind, vient en effet de confirmer au Gardian enquêter sur la relation commerciale qui lie de longue date l’opérateur British Telecom et l’équipementier chinois. Il indique ainsi que la commission est en train d’examiner «dans sa globalité la présence de Huawei dans [les] infrastructures critiques nationales et si elle devrait générer des inquiétudes ». Selon nos confrères, la commission collecterait «depuis quelques mois, en privé, des preuves auprès de membres des services de sécurité» et s’interrogerait sur la pertinence de rendre publiques ses découvertes et recommandations. Toutefois, un rapport devrait être remis au premier ministre britannique d’ici la fin de l’année.
Publié le 16 Octobre 2012
Interview - Dans une interview accordée à ZDNet.fr, le sénateur Jean-Marie Bockel salue le rapport de la Commission du renseignement du Congrès américain, qui "conforte" ses positions sur les routeurs chinois. Mais dit ne pas être "naïf" face aux intérêts américains.
En présentant hier un rapport préconisant de bannir les routeurs chinois de ZTE et Huawei des cœurs de réseau aux Etats-Unis, la Commission du renseignement du Congrès américain a mis les pieds dans le plat. Elle estime qu'à l'heure actuelle, les routeurs, déployés entre autres grâce à un dumping supposé pratiqué par la Chine, ne permettent pas de garantir la sécurité et l'absence d'espionnage.
Folie, pour Huawei et ZTE, mais pas pour Jean-Marie Bockel. Le sénateur a présenté un rapport d'information au Sénat en juillet dernier sur le thème de la cyberdéfense, où il préconisait également l'interdiction des routeurs "ou d'autre équipements de cœur de réseaux qui présentent un risque pour la sécurité nationale, en particulier les routeurs et certains équipements d'origine chinoise."
Les routeurs, "facilitateurs"de l'espionnage chinois ?
Pour le sénateur (Union centriste), que nous avons pu interroger par téléphone, la proposition de la Commission américaine du renseignement le "conforte dans (ses) positions. Je n'avais pas pris ces positions à la légère, contrairement à ce qu'on a pu laisser entendre. Et ce que montre ce rapport américain, c'est qu'il y a un certain nombre d'éléments convergents sur la réalité des attaques et de l'espionnage en provenance de Chine, et sur le rôle de facilitateurs que jouent ces routeurs de cœur de réseaux qui se vendent partout aujourd'hui."
Publié le 15 Octobre 2012
Le discours de Dakar et l'entente saine affichée par le président sénégalais Macky Sall et François Hollande laissent entendre que les choses changent dans les relations franco-africaines. Peut-on nécessairement en déduire que la Françafrique touche à sa fin ?
Atlantico : A tous les débuts de quinquennat on annonce qu’il faut en finir avec la Françafrique. Lors de sa visite à Dakar, François Hollande s’est associé à Macky Sall pour assurer que désormais les relations entre la France et le Sénégal s’établiraient sur la base de coopérations saines. Vous qui avez été secrétaire d’Etat délégué à la coopération et à la Francophonie. Cette annonce diplomatique peut-elle laisser penser que l’on est définitivement entré dans l’ère de l’effacement de la Françafrique ?
Jean-Marie Bockel : C’est un domaine particulier et il s’agit de ne pas passer trop vite de l’ombre à la lumière. Je me retrouve complètement dans certains passages du discours de François Hollande, cependant il ressemble beaucoup à d’autres discours qui ont été tenu dans la période précédente, je pense notamment au discours de Nicolas Sarkozy à Cotonou ou encore au Cap.…
Publié le 15 Octobre 2012
INTERVIEW – Jean-Marie Bockel, qui était secrétaire d'Etat à la Coopération et à la Francophonie quand Nicolas Sarkozy avait prononcé son discours de Dakar, en 2007, décrypte pour leJDD.fr les propos tenus par François Hollande devant le Parlement sénégalais, vendredi. S'il se reconnait dans la position "sincère" de l'actuel chef de l'Etat, l'élu centriste regrette que, parfois, le socialiste "tourne le dos à ce qui a été fait".
François Hollande s'est démarqué en assurant qu'il ne prononçait pas le discours inversé celui fait par Nicolas Sarkozy, il y a cinq ans. Quelle est votre impression?
Le discours de Dakar de François Hollande me paraît aller dans le bon sens. Il n'y avait pas seulement la démarche de se démarquer du passé. Il y a des choses positives qui ont été faites dans le passé, qu'il faut retenir, et des choses négatives, dont il faut tirer des leçons. François Hollande doit maintenant amplifier une démarche pragmatique, déjà entamée sous le précédent quinquennat : construire une autre relation à l'Afrique.
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Publié le 10 Octobre 2012
La polémique autour des routeurs de coeur de réseau chinois ne cesse de rebondir. La commission du renseignement de la chambre américaine des représentants s’apprêterait ainsi à proposer l’interdiction pure et simple des routeurs signés Huawei et ZTE pour les entreprises et administrations du pays.
Alors que le sénateur français Jean-Marie Bockel défendait encore, vendredi dernier, sa position controversée sur les routeurs de coeur de réseau chinois, en attribuant à l’Anssi la justification technique, le commission du renseignement de la chambre américaine des représentants devrait proposer aujourd’hui que soit interdite l’utilisation de ces routeurs par les administrations et les entreprises américaines.
Publié le 10 Octobre 2012
Sécurité - Après le rapport de Jean-Marie Bockel cet été en France, c'est une enquête de la Commission du renseignement au Congrès américain qui vient jeter le doute sur l'indépendance de Huawei et ZTE. Et propose tout simplement de les bannir des réseaux américains.
Pas de répit pour Huawei et ZTE. Les deux géants chinois, notamment fabricants d'équipements réseau utilisés dans le monde entier, sont à nouveau attaqués dans un rapport aux Etats-Unis. La Commission du renseignement du Congrès américain y affirme que les deux équipementiers devraient être bannis des marchés publics.
La raison est assez simple, selon l'agence Reuters, qui a rapporté la nouvelle : l'indépendance de ZTE et Huawei vis-à-vis de l'Etat chinois ne peut être garantie. Dès lors, l'utilisation de leurs technologies sur le sol américain relève au mieux du risque, au pire de la menace d'espionnage.
Publié le 10 Octobre 2012
Jean-Marie Bockel présente son rapport sur la cyberdéfense lors des Assises de la sécurité et des systèmes d’information
Jean-Marie Bockel a présenté son rapport d’information sur la cyberdéfense à l’occasion des Assises de la sécurité des systèmes d’information à Monaco le 5 octobre. Il est par ailleurs revenu, au cours d’une rencontre avec la presse, sur sa proposition d’interdire sur le territoire national et à l’échelle européenne les routeurs ou autres équipements de cœur de réseaux, en particulier d’origine chinoise, qui présentent un risque pour la sécurité nationale.
Retrouvez les articles publiés suite à cette conférence de presse :
Clubic
> Affaire des routeurs chinois, sénateur Bockel : "je vais rencontrer les gens de Huawei"
ITespresso.fr
> Routeurs chinois : Jean-Marie Bockel veut instaurer un rapport de force
LeMagIT
> Routeurs chinois : Jean-Marie Bockel implique l’ANSSI
L’Usine Nouvelle
> Cyber-espionnage : le sénateur Bockel confime ses accusations contre les équipementiers chinois
Réseaux-Télécoms.net
Jean-Marie Bockel : « mon rapport est un point d'étape »
L’Informaticien
> Routeurs chinois : Jean-Marie Bockel se défausse sur l'ANSSI
01net
> Cyberdéfense : Jean-Marie Bockel demande à François Hollande de l'auditionner
Les Echos
> Cybersécurité : le sénateur Bockel va rencontrer Huawei
Global Security
> Le Chef de l’état doit donner une impulsion à la politique SSI, selon le sénateur Jean-Marie Bockel
Le Monde Informatique
> Jean-Marie Bockel persiste dans l'interdiction des routeurs chinois
Publié le 05 Octobre 2012
3 octobre 2012 - Interview avec M. Jean-Marie Bockel (France, PPE, Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe) sur le rapport « Les activites de l'Organisation de cooperation et de developpement economiques en 2011-2012 ».
(Session d'automne de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe (APCE), Strasbourg, 1 - 5 octobre 2012).
Rapporteur de la Commission des questions politiques et de la démocratie du Conseil de l’Europe, Jean-Marie BOCKEL est intervenu en séance, le 3 octobre dernier, afin de présenter le rapport sur les activités de l’Organisation de Coopération et de Développement Économique (OCDE). Ce rapport se concentre sur les réponses à la crise de la zone euro et sur les activités de soutien au Printemps arabe.
Publié le 05 Octobre 2012
A quelques jours du sommet de Kinshasa, l'ancien ministre de la coopération qui avait été débarqué du gouvernement pour avoir voulu la mort de la Françafrique persiste et signe. Il demande à Hollande de ne pas passer son temps à critiquer le passé et Nicolas Sarkozy pour son discours de Dakar mais plutôt à se tourner vers l'avenir.
Publié le 05 Octobre 2012
Interview de Jean-Marie Bockel sur BFM :
Jean-Marie Bockel avait met en cause les équipements chinois placés dans le cœur du réseau
Pour accéder à la vidéo CLIQUER ICI
Publié le 05 Octobre 2012
Interview TV5 - Jean-Marie Bockel : «Il y a un risque de déstabilisation après les élections en Géorgie»
Envoyé par le Conseil de l'Europe pour observer le déroulement des élections législatives en Géorgie, le sénateur Jean-Marie Bockel, ancien ministre de la coopération dénonce un risque pour l'avenir de la démocratie même s'il estime que le processus électoral s'est bien passé.
Publié le 04 Octobre 2012
Communiqué de presse du jeudi 4 octobre 2012
Conseil de l’Europe
Jean-Marie Bockel Sénateur du Haut-Rhin, ancien ministre intervient sur les conséquences de la crise en Europe et sur l’impact de l’action de l’OCDE dans le bassin méditerranéen
Jean-Marie Bockel, sénateur du Haut-Rhin, ancien ministre, est intervenu en tant que rapporteur de la commission des questions politiques et de la démocratie sur les activités de l’OCDE au Conseil de l’Europe sur deux points : les conséquences en Europe de la crise actuelle et l’impact de l’action de l’OCDE dans le bassin méditerranéen.
Sur le premier point, le sénateur a choisi de dépasser le seul cadre de la zone euro : « L’analyse de la crise des dettes souveraines ne saurait être limitée à l’Union économique et monétaire. Elle frappe, à quelques exceptions notables près, l’ensemble du continent. »
Pour Jean-Marie Bockel, si l’UE se dote d’instruments censés prévenir ce type de crise (intégration de la règle d’or notamment), « Il convient néanmoins d’être attentifs à ne pas céder à la tentation d’un intégrisme budgétaire, où le dogme de l’excédent budgétaire conduirait à limiter les dépenses d’avenir, tels nos investissements en matière d’éducation, de recherche ou d’infrastructure. La rigueur ne peut se faire au détriment de l’Europe de la connaissance. »
Le sénateur souligne également que l’austérité ne peut être uniforme et frapper l’ensemble d’une population sans distinction : « Nous ne devons pas oublier les personnes les plus vulnérables, l’État doit rester le garant de l’intérêt général et donc de la justice sociale. Nous ne pouvons rajouter de la rigueur à la précarité. L’effort demandé doit être judicieusement réparti. Le principe de solidarité doit conserver tout son sens.».
LIRE LASUITE
Publié le 17 Septembre 2012
Voici la réaction de Jean-Marie Bockel, président de m2A (Mulhouse Alsace Agglomération) et de Jean Rottner, maire de Mulhouse suite à l'annonce de la fermeture de la centrale nucléaire de Fessenheim fin 2016, dans un communiqué reproduit ci-dessous :
"Jean-Marie BOCKEL et Jean ROTTNER ont pris connaissance des déclarations du Président de la République qui annonce la fermeture de la Centrale nucléaire de Fessenheim fin 2016.
Ils regrettent vivement cette décision dont le caractère politique et emblématique n’échappe à personne. Il s’agit du gage donné aux Verts par rapport aux exigences qu’ils ont pu poser dans leurs accords électoraux. Ce gage ne repose de leur point de vue sur aucun élément rationnel concernant la sécurité et la qualité de la centrale. Fessenheim a été désigné comme symbole politique alors que cette centrale n’était pas la plus vétuste.
Publié le 06 Septembre 2012
Pour le sénateur du Haut-Rhin, fermer Fessenheim relève de l'idéologie. La part du nucléaire a toutefois "vocation à être moindre".
Le sénateur du Haut-Rhin Jean-Marie Bockel a redit jeudi 6 septembre que la centrale nucléaire de Fessenheim, où un incident a fait la veille deux blessés très légers, est une des plus sûres de France, ajoutant que vouloir la fermer relève de l'idéologie.
Interrogé par Europe 1 sur une déclaration de 2011 - "Fessenheim est une des centrales les plus sûres de France" -, l'ancien ministre du gouvernement Fillon et président du mouvement Gauche Moderne a déclaré: "Je n'ai pas changé d'avis".
> LIRE LA SUITE
Interview de Jean-Marie Bockel sur Europe1
Publié le 31 Aout 2012
VIDEO > Le sénateur Jean-Marie Bockel revient sur son rapport sur la Cyberdéfense rendu public en juillet dernier.
Le récent rapport d’information sur la cyberdéfense, adopté par la commission des affaires étrangères, de la défense et des forces armées du Sénat, liste dix priorités pour les années à venir afin de renforcer la protection et la défense des systèmes d’information. L’auteur de ce document, le sénateur Jean-Marie Bockel, détaille certaines de ces priorités.
Retrouvez cette interview parue sur le site www.gouvernement.fr